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SOCRATES – CULTURA ED EDUCAZIONE

Dalle leggende e miti antici ai simboli contemporanei

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LEGENDES


#1 La légende du Maître Manole
(Il faut lire Manolé )


La légende prend ses sources dans la région du sud du pays, en Valachie, au temps où elle devint le premier état féodal roumain. (vers 1320) Sur cette terre régnait « le Prince Noir» que l’on identifie à Bessarabe (le prince fondateur) ou Nicolas Alexandre.
Accompagné par neuf maçons, dont le maître est Manole, le prince chercha un endroit propice sur la vallée de l’Arges (rivière en Valachie) pour bâtir son monastère. Trouvant un vieux mur, les maçons se mirent au travail. Le Prince Noir les menaça de les emmurer dans le fondement s’ils ne réussissaient pas à bâtir un monastère extraordinaire.
Les maçons travaillaient, mais qu’est-ce qu’ils voyaient ? Tout ce qu’on faisait pendant la journée, s’écroulait pendant la nuit. Aujourd’hui, demain, c’était tous les jours la même chose. Quatre jours de travail en vain ! Le Prince, voyant que le mur ne se construisait pas, les menaçait souvent.
Eloigné des siens, Manole se tordait les mains, ne sachant que faire. Pendant la quatrième nuit, il entendit une voix divine dans un rêve, lui disant que l’endroit qu’ils avaient choisi était maudit. Aucune construction ne résisterait une seule nuit si on n’emmurait pas la première épouse ou sœur qui apporterait de la nourriture le matin.
Manole raconta le rêve à ses compagnons et un serment fut fait, de le respecter quelle que soit la femme qui apporterait la nourriture. Le jour suivant, Manole monta sur les charpentes, voir laquelle arrivait. Qu’est-ce qu’il vit ? Anne, son épouse, venait chargée de nourriture pour lui.
Le pauvre Manole commença à pleurer, et tombant à genoux il pria Dieu de faire pleuvoir abondamment, pour arrêter sa femme. Tout à coup, la pluie commença, mais Anne continua sa route. Alors, Manole demanda au Seigneur de faire souffler un vent fort. Cette fois encore, il fut entendu. Le vent se mit à souffler très violemment... mais pour rien. La femme de Manole se tenait fermement sur son chemin. Elle arriva la première. Le maître maçon, plein de douleur, alla au devant, l’embrassa et la fit monter sur la fondation. En essayant de faire semblant de s’amuser, il lui dit :
«Ne crains rien du tout,
Ma chérie, car nous
Voulons plaisanter
Et là t’emmurer ! »
Au début, elle lui fit confiance. Mais voyant le mur s’élever peu à peu, Anne commença à pleurer et cria :
«Manole, cher Manole,
O Maître Manole,
Le gros mur m’étreint,
Et tout mon corps geint ! »
Manole ne pouvait que soupirer. Très peu temps après, il ne pouvait plus voir sa femme. On entendait seulement des mots :
« Manole, cher Manole,
O maître Manole,
Le gros mur m’étreint,
Et ma vie s’éteint ! »
Le travail continua, et la construction ne s’écroulait plus, le monastère fut fini. Mis au courant, Prince Noir vint le voir. Mais quand il vit l’édification imposante, il demanda aux maçons de lui en faire un autre, plus beau encore que cela. Sur le toit, les maçons lui dirent :
« Comme nous, maçons,
Maître, compagnons,
Tu ne trouveras
Jamais ici-bas.
Sache, donc, que nous.
Pourrons n’importe où
Bâtir sur la terre
Plus beau monastère,
Plus éblouissant
Et resplendissant ! »
Prince Noir resta pensif. Il ne devait pas exister une autre bâtisse plus belle que la sienne. Les maçons devaient mourir.
Jaloux, il ordonna la destruction des charpentes et échelles, laissant ainsi les maçons prisonniers sur le toit.
Ils s’échappèrent en utilisant des ailes de bois. Seul Manole mourut en tombant après avoir entendu les cris de sa femme.
La monastère existe encore resplendissant, il est visité par milliers de croyants chaque année.
Il y a un endroit sur le mur du sud-est du monastère où il y a toujours quelques gouttes d’eau salée. On dit que c’est la place où Anna a été emmurée et que ces gouttes-là sont ses larmes.

#2 LE MYTHE DU SYLPHE


Le mythe du „sylphe” explique,en termes populaires, l’apparition du premier amour.Ça marque l’existence des filles et ne peut pas être oublié jamais.
Au debut elles s’énamourent d’une idée ,de l’image qu’elles ont creé en ce qui concerne l’amour parce que toutes les jeunes filles rêvent avec le prince charmant.
À proprement parler il n’existe pas une médecine contre cette „maladie”, mais la tradition populaire nous parle des remedes des sorciers et de la magie,comme les deux choses qui peuvent eliberer les filles de cette obsesion.
Le sylphe ou le genie invisible est un personaje de la mythologie roumaine qui vient pendant la nuit pour troubler le sommeil des jeunes vierges.
Dans son apparence s’entrecroisent des symboles de la beauté masculine populaire roumaine.Il impressionne avec sa jeunesse, son cheveaux noirs,ses yeux noirs ,son moustache fine et avec toutes les choses qui donnent sa grandeur et son allure mystérieuse.
Malgré sa beauté il est un personaje malefique qui soumet les jeunes filles aux horrifiques tourments.

#3 LA LÉGENDE DU “MARTISOR” (DU PENDENTIF)

Depuis longtemps, trop longtemps, quand le soleil an visage beau de jeune homme descendait pour entrer dans la ronde au milieu des jeunes à l’occasion de quelque grande fête, un dragon pilleur l’a guetté et, l’enlevant parmi les gens, il l’enferma dans un lourd prison avec des barreaux. Tout le monde s’attrista. Les oiseaux dans le forêt muet avaient oublié leur gazouillement, le susurrement des sources, la chanson des vierges, le rire des enfants sont disparus. Personne n’osait tenir tête au terrible dragon acharné. Il y avait parmi les jeunes un vaillant qui est allé sauver le soleil pour le monde et pour la terre du prison du dragon. Tous les parents et tous les amis l’ont encouragé et ils lui ont donné leur force pour pouvoir surmonter tous les obstacles.
Il marcha pendant l’été, pendant l’automne, il marcha aussi pendant l’hiver rigoureux jusqu’à ce qu’il trouva le château de l’épouvantable dragon. L’acharné combat à mort commença. Ils se heurtaient sans épargner les coups, faisant jaillir des gouttes de sueur et de sang sur la neige cristalline . Le dragon était fort mais le vaillant résistait bien. Leurs poitrines étaient pleines de blessures, les bras et les épaules aussi. Mais, finalement, le jeune homme s’est prouvé plus fort et le dragon méchant fut tué. Brisant les murs noirs du prison, il délivra le soleil et le mit sur le ciel clair. La nature fut ranimée, les gens se réjouirent, mais il n’a pas pu voir le printemps. Le chaud sang de ses blessures s’est écoulé sur la neige. Et quand la neige a commencé à fondre, en cet endroit des fleures blanches qui se réveillaient de l’engourdissement, ont poussé. Les perce-neige, les messagers de printemps, ont poussé aussi. La dernière goutte de pouvoir et de sang s’est écoulé du bras du jeune homme le premier jour du mois de mars. Et ce brave jeune homme a fermé les yeux. Mais, dès lors, les filles tressent deux fils, au mémoire de son exploit. Ces fils sont: l’un blanc et l’autre rouge - les pendentifs du printemps. Les filles offraient ce cordonnet tressé rouge et blanc aux jeunes hommes qu’elles aimaient. De nos jours ce cordonnet tressé sert à attacher le “martisor”, un petit objet (comme un broche) qui porte bonheur. Aujourd’hui la tradition est un peu alteré, c’est-à-dire ce sont les hommes qui offrent le “martisor” aux femmes.
Ces deux couleurs ont multiples significations. Le rouge c’est le couleur du sang du brave jeune homme qui a lutté contre le dragon et a sauvé le soleil pour le monde, la passion, l’amour des hommes, entrelacé avec la pureté, l’innocence du perce-neige qui est délicat et frêle - la première fleur du printemps, la grâce et la naïveté des vierges, représentées par le blanc. Le rouge c’est aussi le printemps qui approche, la vie qui renaît tandis que le blanc c’est la neige,l’hiver qui s’en va.


#4 Ilincuta Sandrului


Le myth est né et répandu dans la Plaine Roumaine, au sud du pays. On trouve l’action aux temps médiévals, cels de la domination des Turcs dont l’Europe s’étend jusqu’au Danube. La rivière est également protectrice et source de nourriture aussi d’histoires et légends pouar la population roumaine.
Au bord du Danube vivait avec sa mère, Ilinca, fille d’un riche paysant. Sa beauté était si fameuse que même le fils du sultan en etait du courant. Voulant lui même se connaincre, il arrive en Valachie, il la voit et il s’éprend d’elle. Il prie son père d’ordonner de l’enlever. Quand les soldats turcs arrivent à la maison d’Ilinca, sa mère les attend avec quelques trucs : elle cache sa fille, fait un faux tombeau et prétend qu’elle est morte ; elle la pleure. Les turcs presque trompés quqnd l’un deux trouve Ilinca. Elle est lite, enlevée et portée sur un navire et prête à partir à Constantinopol. Mais Ilinca reussit à se jetter dans le Danube, Dieu prenant son âme.
Ainsi elle préfère d’être :
« nourriture pour les poissons
qu’ésclave aux turcs ! »

#5 DRACULA

 


 
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